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Suzanne VALADON
Fiche d’Identité :
Nom Complet : Marie-Clémentine Valadon
Dates : 1865- 1938 (73 ans)
Pays d'origine : France
Professions : Modèle puis peintre
Marie-Clémentine Valadon est née de père inconnu avec sa mère Madeleine Valadon en 1865 à Bessines-sur-Gartempe en France. Petite fille turbulente et pleine de rêve elle s’essaie au trapèze au Cirque Mollier, conseiller par Antoine de la Rochefoulcault. Cependant après une violente chute, elle devint modèle pour de nombreux peintres. A force de regarder des artistes la peindre, elle développa le goût de la peinture et se lança dans sa cariière. En 1883, elle accoucha du célèbre Maurice Utrillo, reconnu par Miguel Utrillo. Elle décéda d’une hémorragie cérébrale à 73 ans en 1938. Des hommes comme Egdar Edas, Erik Satie, Toulouse-Lautrec, André Utter, l’aidaient dans sa vie.
La vidéo que l'on a réalisé !
Domaine artistique
La vocation de Suzanne Valadon est née de l’observation des différents peintres en tant que modèle. Elle pratiquait l’impressionnisme. Elle a appris tout le long de sa carrière des techniques comme le fusain, la sanguine et la mine de plombs. Elle participa à de nombreux salons et expositions comme le salon de la Nationale, la galerie Beheim Jeune…Elle peignait des nus, des natures mortes et des portraits.
Un petit quizz pour savoir si tu as été attentif(ive):
Andre Utter and His Dogs
Miss Lily Walton
La condition des femmes au XIXe siècle
Le XVIIIe siècle va connaitre une prise de conscience des femmes peintres sur leur statut d’artiste. En effet, à l’époque, il y avait deux manières pour les femmes d’être reconnu comme artiste ; soit elles travaillaient dans un atelier familial, soit elles travaillaient dans l’ordre religieux. Elles se limitaient aux natures mortes. Un gris retard vis-à-vis du reste de l’Europe. On peut aussi constater que les femmes admissent à l’Académie royale de peinture étaient rares. En 15 ans d’existence une seule femme, Catherine Girardon, l’a rejoint. Tout de fois la vision des lumières sur la femme changea, la femme n’était plu une bête sans foi ni constance mais elle n’était toujours pas égale à l’homme.